Les soins intensifs et les suites de la césarienne
Le service de réa Toujours en salle de réveil, je souffrais malgré la dose de morphine qu’on m’avait administrée. Je pouvais à peine parler et je voyais les médecins autour de moi s’affoler. J’étais comme un pantin, un jouet qu’on manipulait et je me...